Les méfaits du surentraînement

Les méfaits du surentraînement

Les méfaits du surentraînement

La pratique de l’exercice physique comporte de nombreux bienfaits pour la santé, mais comme toute pratique, il faut trouver le bon équilibre.
Ainsi, il n’est pas rare pour un sportif professionnel, ou non, de dépasser ses limites et de tomber dans le surentraînement.

Qu’est-ce que le surentraînement ?

Le surentraînement démarre lorsque l’on s’entraîne plus par rapport à notre capacité de récupération, nos efforts deviennent alors contre productifs, et déclenchent une série d’effets négatifs comme :

– Une diminution des performances lors des séances : ne pas arriver à maintenir la qualité, le rythme, la fréquence ou le volume de son entraînement à cause de douleurs, ou bien de fatigue, sur plusieurs séances de suite. Ces aspects sont est souvent signe de surentraînement.

– Des troubles du sommeil et de l’humeur : s’entraîner trop intensément peut également dérégler le système hormonal et provoquer des difficultés à s’endormir, des insomnies, des réveils nocturnes ou à l’inverse, un besoin excessif de dormir.
Ce dérèglement peut également entraîner des changements d’humeur plus importants que d’habitude.

– Des douleurs : Les tendons, les ligaments et les articulations peuvent être endommagés par des efforts trop intenses ou trop nombreux.

Le surentraînement peut donc avoir de réelles conséquences sur votre santé et n’est pas à prendre à la légère.
Il est important de se rappeler que, malgré ses bienfaits, le sport et l’activité physique de manière générale restent un stress pour l’organisme et que leurs bénéfices sont principalement générés pendant les phases de récupération.
Ce n’est que lorsque votre corps récupère complètement qu’il progresse. Si vous lui imposez une séance trop intensive, alors qu’il n’a pas récupéré de la précédente, il régresse et entre progressivement en surentraînement.

Comment l’éviter ?

Pour éviter le surentraînement, il va donc falloir organiser votre entraînement de manière à pouvoir suffisamment récupérer entre chaque séance :
– Évitez d’enchaîner deux entraînements intenses d’affilés et intercalez un jour de repos au minimum entre chaque séance.
– Si vous n’avez pas le choix, diminuez l’intensité ou le volume de la séance. Privilégiez par exemple un travail sur la technique propre à votre sport. Quel que soit le sport que vous pratiquez, la qualité des séances vous apportera toujours de meilleurs résultats que la quantité.
– Il est également important d’écouter son corps. La fatigue et les douleurs sont des signaux qui vous préviennent que votre corps n’est pas dans sa forme optimale. Soyez objectif et ajustez vos entraînements en conséquence.
– Votre hygiène de vie globale peut également être un facteur qui accélère ou freine le surentraînement : A partir d’un certain niveau ou d’un certain nombre de séances de sport hebdomadaire, vous devez organiser votre semaine, pour récupérer de manière optimale. Veillez à avoir suffisamment de sommeil, gérer votre stress et adoptez une alimentation de qualité et en bonne quantité et une bonne gestion du stress.

Le surentraînement est donc multifactoriel et provoque différents problèmes. Adaptez votre pratique sportive en fonction de vos objectifs et de votre forme physique.
En effet, pour progresser, le sport ne doit pas être une addiction mais un plaisir. Rappelez-vous que faire plus ne veut pas toujours dire faire mieux.

À propos d’ATID Consulting

ATID Consulting est un cabinet de conseil et organisme de formation spécialisé dans la prévention santé et la qualité de vie au travail.

Depuis plus de 15 ans, nous intervenons auprès des entreprises pour leur apporter des solutions sur-mesure en réponse à des enjeux de performance, d’engagement, d’organisation et de fidélisation pour l’ensemble des collaborateurs.

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Comment réguler son système nerveux pour mieux dormir ?

Comment réguler son système nerveux pour mieux dormir ?

Comment réguler son système nerveux pour mieux dormir ?

Le corps humain est un univers à lui tout seul. Il est, comme notre galaxie, composé de divers systèmes fonctionnants tous en interrelations dans le but de maintenir l’homéostasie, c’est-à-dire l’équilibre de notre milieu intérieur. Les processus physiologiques qui contribuent à maintenir cette homéostasie offrent au corps son immense pouvoir de guérison et de résistance aux excès, permettant en grande partie le maintien de la santé.

Le système nerveux, c’est quoi en fait ?

Parmi tous ces systèmes qui nous composent nous allons nous intéresser ici au système nerveux, et plus particulièrement à une sous partie de ce système, appelé système nerveux autonome (SNA). Notre système nerveux est composé d’un système nerveux central (comprenant le cerveau et moelle épinière) et d’un système nerveux périphérique (comprenant le système nerveux autonome, viscéral et somatique). Le système nerveux autonome est divisé en un système sympathique et un système parasympathique.

A quoi sert le système nerveux autonome ?

Quesaco ?
Le système nerveux autonome (sympathique et parasympathique) est responsable de la gestion des fonctions automatiques de notre corps, comme respirer, digérer, sécréter des hormones, augmenter ou diminuer la fréquence cardiaque etc.

Saviez- vous que… ?
Si un jour vous tombez nez à nez face à un chien à l’air enragé ou bien que vous deviez vous précipiter hors d’un édifice en flammes, votre système nerveux sympathique se met à fonctionner à pleine puissance et vous permet de lutter ou de fuir à toute vitesse. Quand le danger est passé, votre système nerveux parasympathique prend le relais en aidant l’organisme à se détendre et à récupérer.

Petit résumé…
Le système sympathique est activé lors de stress physique ou psychologique. Une forte activité du système sympathique favorise les fonctions du corps qui participent à l’effort physique, à la production et consommation rapide d’énergie. En plus de cela, diverses émotions telles que la peur, la gêne, la colère stimulent le système sympathique. Le système parasympathique, quant à lui, s’active en période de repos et de digestion. Ce système favorise les fonctions qui économisent et restaurent de l’énergie dans les moments de calme et de récupération.

Mais alors, que se passe-t-il quand la tension s’accumule et qu’il n’y a pas de période de récupération ?

 

Quand vos journées sont remplies de soucis et que le système sympathique est sur-stimulé, des problèmes de santé peuvent se manifester. Une tension chronique constante altère la capacité du corps à maintenir l’homéostasie et donc la santé. Le sommeil est très souvent un des premiers à être perturbé. Insomnies, réveils nocturnes, hypersomnies témoignent généralement d’un excès de fonctionnement du système nerveux sympathique.

Comment faire pour réguler son système nerveux autonome ?

Vous l’aurez donc compris, pour favoriser un sommeil récupérateur, calme et ressourçant, il est important d’avoir un équilibre entre le système sympathique (consommateur et excitateur) et le système parasympathique (calme et récupérateur). Généralement le problème vient d’un excès de tension, de stress, entrainant une sur stimulation du système sympathique. Il est possible de diminuer cela par le recours à des techniques de relaxation et de réduction du stress.

Beaucoup de personnes pensent à faire une activité physique dans le but de tonifier leur corps et de relâcher la pression. Pourtant, plutôt que de remuscler leur corps, certaines personnes auraient besoin de retonifier les commandes nerveuses de leur système parasympathique. En effet, l’activation de cette partie du SNA aide à rétablir l’équilibre de notre milieu intérieur. Elle est associée à la sensation de détente profonde, de relaxation et donc est favorable au sommeil.

Certaines disciplines comme le hatha-yoga, le tai-chi, les arts martiaux, font appels au corps et à l’esprit. Ces méthodes permettent de jumeler l’activité musculaire et l’intériorisation. Ceci entraîne une prise de conscience du corps, du souffle et du mental. Le fait d’être concentré sur les sensations physique et la respiration, apaise l’esprit. La prise de posture de yoga par exemple, implique une concentration particulière responsable d’une diminution des pensées inutiles, néfastes, et stressantes. D’autres techniques moins physiques comme la méditation, la sophrologie, la relaxation ou encore la cohérence cardiaque ont pour objectif de calmer le souffle, de se concentrer sur soi et donc d’apaiser le mental et ainsi le système nerveux sympathique.

Conclusion

En conclusion, nous avons tous en nous les capacités de retonifier notre système parasympathique afin d’engendrer plus de calme et de sérénité dans nos vies. Ce système par son action apaisante favorise le sommeil indispensable à notre équilibre.

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Prendre soin de son microbiote ?

Prendre soin de son microbiote ?

Comment prendre soin de son microbiote ? 

Le microbiote est désormais considéré comme un organe à part entière. Il est composé de 100 000 milliards de bactéries, soit 100 fois plus que les cellules de notre corps et 1000 fois plus que le nombre d’étoiles présentes dans la galaxie pour un poids de 2 kilos ! 

Rôle et formation de notre microbiote. 

A l’instar de l’empreinte digitale, le microbiote intestinal est propre à chaque individu : il est unique sur le plan qualitatif et quantitatif.  

Les fonctions du microbiote sont multiples : 

  • Métaboliques : il aide à la digestion de certaines fibres non digérées au niveau de l’intestin grêle et produit des métabolites essentiels et des vitamines. 
  • Immunitaires : il exerce une fonction de barrière par rapport aux pathogènes (« mauvaises » bactéries). Il participe à la maturation, la stimulation et l’éducation du système immunitaire. Il établit un dialogue avec le système immunitaire de l’hôte pour se défendre contre les pathogènes et induire une tolérance vis-à-vis de certains corps étrangers inoffensifs, comme les aliments … 

Nous pensions jusqu’à maintenant que l’intestin de bébé dans l’utérus de maman était stérile. De récents travaux suggèrent qu’une colonisation bactérienne du liquide amniotique, du placenta, du sang du cordon, existerait. A la naissance, l’intestin de bébé va se coloniser rapidement à partir des germes d’origine vaginale, intestinale, cutanée de maman et aussi de l’environnement. 

Certains facteurs peuvent modifier l’implantation de ce microbiote : la génétique, l’origine géographique, la césarienne qui empêche le contact de bébé avec les flores de maman ainsi que le type d’alimentation après la naissance (allaitement maternel versus lait infantile). Le microbiote d’un bébé nourri exclusivement au sein sera dominé par des lactobacilles et des bifidobactéries, dont le rôle bénéfique pour la santé est de plus en plus démontré. 

Au cours de la diversification alimentaire, le microbiote de bébé va évoluer vers celui de l’adulte. 

En prendre soin  

Quand le microbiote intestinal est en déséquilibre, on parle alors de dysbiose. La muqueuse intestinale perd alors son étanchéité, en laissant passer des éléments inopportuns qui pourraient avoir un retentissement négatif sur notre santé : intestin irritable, maladie de Crohn, asthme, eczéma, allergies, obésité, diabète, autisme, état dépressif…  

Plus récemment, des études ont montré qu’une dysbiose du microbiote pendant la grossesse pouvait entraîner une dysbiose chez le nouveau-né, responsable de pathologies inflammatoires et/ou métaboliques à l’âge adulte. 

Il existe des micronutriments capables de moduler la composition et l’activité du microbiote intestinal de manière bénéfique : les prébiotiques et probiotiques. 

Les prébiotiques sont des fibres, le plus souvent des fructanes (inuline, FOS) non digestibles qui servent de nourriture aux bactéries du microbiote intestinal et leur permettent de se multiplier.  

Ils sont majoritairement présents dans : 

  • Les fruits, légumes et légumineuses riches en fibres.  
  • L’ail, l’oignon et l’échalote.  

Les probiotiques sont des micro-organismes vivants qui permettent de restaurer les propriétés du microbiote intestinal. Ils contribuent à empêcher la prolifération de germes indésirables. Ils sont naturellement présents dans les yaourts et les laits fermentés (lait ribot, kéfir, koumis…) mais aussi dans les légumes fermentés (choucroute, kimchi) ou encore dans le thé fermenté (kombucha). 

Les résultats d’une étude ont mis en évidence une dysbiose ainsi qu’une augmentation de la perméabilité intestinale chez les patients alcooliques. La population bactérienne présente dans l’intestin des patients dépendants a été modifiée par l’ingestion chronique d’alcool, et cette flore différente est également associée à la production de composés potentiellement toxiques. 

Les antibiotiques perturbent également le fonctionnement intestinal. Ils vont s’attaquer aux bactéries nocives mais également aussi aux « bonnes » bactéries qui colonisent le système digestif. Un traitement antibiotique unique perturbe de façon marquée le microbiote dominant, mais celui-ci est très résilient car il se reconstitue à l’identique en quelques semaines au moment de l’arrêt du traitement. En revanche, des traitements chroniques pourraient induire des pertes apparemment irréversibles. 

La santé du futur. 

Avec l’analyse du microbiote, une révolution est en marche dans les domaines de la nutrition préventive et de la médecine. Les chercheurs analysent le dialogue entre les bactéries intestinales et les cellules humaines pour comprendre son influence sur les maladies inflammatoires, métaboliques ou neurologiques. Et ce sont d’infinies perspectives de recherche qui s’amorcent. 

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L’ECRAN : Conseils d’Ergonomie

L’ECRAN : Conseils d’Ergonomie

L’ECRAN : Conseils d’Ergonomie pour Prévenir les Troubles Musculo-Squelettiques et Améliorer le Confort au Travail

La révolution numérique a transformé notre manière de travailler : fini les papiers, place aux écrans et à la dématérialisation ! Toutefois, cette transition s’accompagne de défis pour notre santé, notamment des douleurs liées à une mauvaise posture et des troubles musculo-squelettiques (TMS). Dans cet article, nous vous proposons des solutions concrètes pour optimiser votre confort devant l’écran, que ce soit en entreprise ou à domicile.

Pourquoi ai-je mal derrière mon écran ?

 

Les chiffres clés

  • 70% des salariés utilisent l’informatique dans leur quotidien professionnel, exposant ainsi une large population aux risques liés à l’utilisation intensive de l’écran.

Les causes principales des douleurs

Les TMS et douleurs musculaires s’expliquent par plusieurs facteurs, notamment :

  • Facteurs biomécaniques :

    • La répétitivité du geste (frappe sur le clavier, utilisation de la souris)
    • Les efforts intensifs (port de charges lourdes)
    • La posture statique prolongée
    • Les contraintes posturales (poignets, coudes et épaules mal alignés)
  • Autres facteurs aggravants :

    • La pression et la charge de travail
    • Le manque de pauses régulières et l’organisation répétitive des tâches

Les zones les plus affectées

  • Douleurs cervicales : le cou penché, tourné ou incliné pour mieux voir l’écran.
  • Douleurs aux épaules : dues à une mauvaise position des bras ou au port de charges lourdes (classeurs, ordinateurs).
  • Tendinite du coude : causée par la frappe intensive et l’utilisation répétée de la souris.
  • Syndrome du canal carpien : lié à une pression prolongée sur le poignet et à l’utilisation fine des doigts.

Fatigue visuelle

Après environ 4 heures de travail intensif sans pause, la fatigue visuelle se manifeste par :

  • Lourdeur et rougeur des yeux
  • Picotements, éblouissements et vision floue
  • Sécheresse oculaire et maux de tête

Conseils d’Ergonomie pour une Utilisation Optimale de l’Écran

 

 

Positionnement et choix de l’écran

  • Alignement optimal :
    • Placez l’écran directement en face de vous, de manière à ce que votre regard atteigne le tiers supérieur du moniteur.
  • Dimensions et type d’écran :
    • Privilégiez un écran de grande taille avec une surface mate pour limiter les reflets.
  • Distance idéale :
    • Maintenez une distance d’environ 60 cm entre vos yeux et l’écran (ou 4,5 fois la diagonale de l’écran).
  • Pour les ordinateurs portables :
    • Rehaussez l’appareil ou connectez-le à un écran externe plus grand.

Optimisation de l’éclairage

  • Lumière indirecte :
    • Favorisez les éclairages indirects et évitez les sources lumineuses directes à moins de 30° au-dessus des yeux.
  • Position par rapport aux fenêtres :
    • Évitez de vous positionner face à une fenêtre (risque d’éblouissement) ou de dos (risque d’assombrissement de l’écran).

Agencement en cas de multi-écrans

  • Double écran :
    • Si l’un des écrans est plus utilisé, placez-le en face de vous ; sinon, optez pour une disposition symétrique.
  • Trois écrans ou plus :
    • Disposez-les en arc de cercle pour assurer une distance uniforme avec vos yeux.
    • Pour plus de quatre écrans, ajustez la position de votre chaise pour rester en face de l’ensemble.

Gestion des documents et affichage

  • Porte-document :
    • Positionnez-le à côté de l’écran ou entre le clavier et l’écran afin que le document soit à la même distance visuelle (différence limitée à 25%).
  • Affichage optimisé :
    • Utilisez un fond clair et un contraste adapté pour l’affichage des caractères.
    • Limitez le nombre de couleurs (maximum trois) et évitez le bleu pour les textes, surtout avec l’âge.
    • Attention aux LED en rétroéclairage qui peuvent perturber le sommeil et l’horloge biologique.

Encourager la mobilité et les pauses

  • Posture dynamique :
    • Alternez entre la position assise et debout. Utilisez un ballon de gym pour favoriser le mouvement.
  • Prendre des pauses régulières :
    • Une pause toutes les heures permet de casser la monotonie et de limiter l’apparition des douleurs posturales (les risques augmentent après 5 à 7 heures de travail continu).
  • Regarder au loin :
    • Pensez à détourner le regard régulièrement pour réduire la fatigue oculaire.

    Conclusion

    L’adoption d’une bonne ergonomie devant l’écran est essentielle pour prévenir les troubles musculo-squelettiques et améliorer votre confort au quotidien. En optimisant la disposition de votre espace de travail, en adoptant une posture adéquate et en intégrant des pauses régulières, vous pourrez réduire les risques de douleurs et augmenter votre productivité.

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    sédentarité et transports

    sédentarité et transports

    Sédentarité et transports 

    L’Homme a toujours eu pour but de bouger, d’explorer, et de découvrir le monde. Ces déplacements actifs sont devenus au fils du temps passifs. La sédentarité, qui correspond au temps passé assis ou allongé hors des périodes de sommeil, est maintenant devenue possible même en se déplaçant… 

    Pendant des millénaires, la découverte de l’espace de l’individu s’est faite à pied, puis à cheval pour enfin se faire de façon motorisée. 

     

    C’est au XIXème siècle que la révolution des transports a eu lieu et que les transports mécanisés ont vu le jour. 

    D’abord sur l’eau avec les bateaux à vapeur, puis les bateaux à hélice. 

    Puis sur terre, avec les locomotives à vapeur et de ce fait une augmentation fulgurante de la construction de voies ferrées. 

    Et enfin l’automobile qui se développe elle dans les années 1900 à une vitesse folle. 

    Ces moyens de transports sont principalement utilisés pour le transport de marchandises à travers le pays et plus tard à travers le monde afin de développer le commerce. Ce n’est que par la suite qu’ils sont utilisés pour le transport de personnes. 

     

    Au fils des siècles, l’évolution des transports a été considérable en terme de moyens de locomotion : voitures, motos, scooters, vélos, trottinettes (le tout décliné en version électrique), rollers, hoverboards, skateboards… 

    Si certains de ces engins mettent le corps en exercice lors de leur utilisation d’autres ont été créés pour permettre à l’usager de se déplacer sans effort. 

     

    Se pose alors le problème de la sédentarité au quotidien lors des déplacements des individus qui sont pour la majorité effectués en voiture (65%), selon une étude menée en 2008. 

    Malgré le fait que les transports actifs ne représentent qu’un quart des déplacements, ceux réalisés à pied et à vélo progressent à nouveau depuis quelques années. Ce sont les femmes qui marchent le plus alors que les hommes, eux, préfèrent le vélo. 

    Trois critères influent sur le mode de transport utilisé.  

    Tout d’abord l’âge : les 25-44 ans auront plus tendance à utiliser la voiture alors que les plus de 65 ans préfèrent la marche ou les transports collectifs. 

    Ensuite la zone géographique : la marche à pied et l’utilisation des transports en commun sont beaucoup plus utilisés dans les pôles urbains que dans les espaces à dominante rurale. Cependant la voiture reste malgré tout le moyen de transport le plus utilisé toutes zones géographiques confondues.  

     

    Enfin, les personnes ayant un emploi utilisent davantage les transports actifs que les chômeurs qui eux privilégient la marche et le vélo. 

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    Sédentarité, sport et alcool 

    Sédentarité, sport et alcool 

    Sédentarité, sport et alcool

    L’usage nocif de l’alcool entraîne dans le monde 3,3 millions de décès chaque année, soit 5,9% des décès. L’usage nocif de l’alcool est un facteur étiologique dans plus de 200 maladies et traumatismes. 

    Dans l’ensemble, 5,1% de la charge mondiale des maladies et traumatismes, tels que mesurés par les années de vie ajustées sur l’incapacité (DALY), est attribuable à l’alcool. 

    La consommation d’alcool entraîne des décès et des incapacités relativement tôt dans la vie. Dans la tranche d’âge 20-39 ans, près de 25% du nombre total de décès sont attribuables à l’alcool. 

    Il existe une relation de causalité entre l’usage nocif de l’alcool et toute une série de troubles mentaux et comportementaux, d’autres maladies non transmissibles ainsi que les traumatismes. 

    Dernièrement, des relations causales ont été établies entre la consommation nocive d’alcool et l’incidence de maladies infectieuses telles que la tuberculose ou l’évolution du VIH/sida. 

     

    Définition et repères de consommation 

    L’alcool (également appelé « éthanol », « acide éthylique » ou « alcool pur ») présent dans certaines boissons est une substance obtenue par la fermentation de : 

    • Fruits (ex. : raisins pour le vin, cerises ou poires pour les eaux de vie) ; 
    • Grains (ex. : houblon servant à produire la bière) ; 
    • Tubercules (ex. : pomme de terre, utilisée dans la production de la vodka). 

    La quantité d’alcool pur contenue dans une boisson alcoolisée est indiquée sur l’étiquette de la bouteille, en degrés (°) ou en pourcentage (%) pour 100 ml. Plus le degré est élevé, plus la boisson est concentrée en alcool pur. Ainsi, pour une boisson à 12 ° ou 12 %, 100 ml contiennent 12 ml d’alcool pur. 

    Après consommation, l’alcool passe rapidement dans le sang, par absorption au niveau de l’intestin grêle. La concentration d’alcool dans le sang est maximale au bout de 45 minutes si l’alcool est bu à jeun et au bout de 90 minutes s’il est pris au cours d’un repas. De là, il est transporté en quelques minutes dans tout l’organisme (notamment le cerveau). 

    Puis, l’alcool est éliminé peu à peu à 95 % par le foie et à 5 % par les reins (urine), la peau (sueur), la salive et les poumons (expiration).. 

    Consommation excessive 

    Il n’y a pas de consommation d’alcool sans risque, mais des consommations à risque plus ou moins élevé. 

    Il n’existe donc pas de seuil de consommation qui permettrait à coup sûr de limiter les risques pour la santé tout au long de la vie. Toutefois, un avis d’experts de Santé publique France et de l’Institut national du cancer a tenté de définir des risques acceptables et propose une valeur repère unique aussi bien pour les hommes que pour les femmes exprimées sous la forme d’un nombre de verres d’alcool standard. 

    Cette valeur repère est de 10 verres d’alcool standard (environ 10 g par verre) par semaine, maximum, sans dépasser 2 verres standard par jour. 

    Les effets de l’alcool  

    Outre les effets immédiats d’une consommation excessive d’alcool (comportements non maîtrisés, accidents de la route…), la consommation régulière et importante augmente les risques de développer plusieurs maladies liées à l’alcool : 

    • Cancers (foie, voies aérodigestives, sein) 
    • Cirrhose 
    • Maladies cardiovasculaires 
    • Dépendance à l’alcool 
    • Des effets graves et définitifs sur le développement du fœtus pendant la grossesse 
    • Des maladies neurologiques et des troubles psychiques 

    Comment les réduire ?

    Si vous souhaitez boire moins au quotidien, essayez de vous préparer progressivement à ce changement, en trois étapes : 

    1. Analysez bien vos habitudes, pour repérer dans quelles circonstances vous consommez des boissons alcoolisées. 
    2. Réfléchissez à l’attitude que vous pourriez adopter pour boire moins, dans chaque situation (ex. : alterner une boisson avec et sans alcool). 
    3. Essayez d’adopter autant que possible ces nouveaux réflexes. 

    Parfois, agir seul est insuffisant pour réduire sa consommation. Aussi, si vous en ressentez le besoin, demandez le soutien d’un professionnel de santé (médecin traitant, infirmière scolaire, médecin du travail, etc.)  

      Sport et alcool

      L’alcool a un effet déshydratant. Il faut savoir qu’en buvant du vin ou une bière, on ne s’hydrate pas contrairement à ce qu’on pourrait penser. 

      En effet, les boissons qui contiennent plus de 4 % d’alcool ont un effet diurétique. La quantité d’eau présente par exemple dans une bière est inférieure à ce que le rein va produire. Le bilan hydrique est négatif et altère donc la récupération. De sorte que lorsqu’on boit de l’alcool avant de pratiquer du sport, les pertes urinaires s’ajoutent à la transpiration et diminuent les performances. C’est pour cela que lors d’une soirée il est conseillé de boire un verre d’eau à chaque fois que l’on prend un verre d’alcool. Enfin, dernier effet négatif, l’alcool augmente le stockage des graisses dans l’organisme. Lorsque, par exemple, on prend un apéritif et qu’en même temps on mange des aliments gras (comme de la charcuterie, des chips ou des cacahuètes…), l’organisme va d’abord privilégier l’élimination de l’alcool. Ce qui fait que l’on va moins éliminer les graisses et donc les stocker… 

       

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      Notre particularité ? Transposer les méthodes du sport de haut niveau à celui de l’entreprise ! 
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